Mon intervention pendant le JT de France3 du 6 octobre m’a permis de répondre sur différents sujets.
La valse des premiers ministres
26 jours pour nommer les mêmes ministres, un gouvernement qui dure 14 heures : voilà où mène le déni démocratique.
En 2024, les Français ont placé la gauche en tête. Mais à Matignon, ce sont des Premiers ministres de droite qui ont défilé.
Ces gouvernements restent sourds aux préoccupations des Français : sur les retraites, sur justice la fiscale, sur le travail.
Dans cette crise politique nationale, la commune est un rempart de la démocratie, celui au sein duquel nous pouvons agir concrètement sur le quotidien des gens.
Grenoble, l’union de la gauche
Oui, nous voulons l’union de la gauche à Grenoble !
Le contexte national nous incite à l’unité, ici comme ailleurs.
C’est pour cela que la dynamique de la gauche écologiste et citoyenne que je porte travaille avec les partis à cette union, fidèle à nos engagements et pour répondre aux besoins des habitant·es.
La ville, le bon endroit pour agir
Oui, je pense que la ville est le bon endroit pour agir.
Grenobloise depuis 20 ans, ce que j’ai toujours porté, c’est le collectif. À la fois en dirigeant une entreprise coopérative qui fonctionne démocratiquement, où les salarié·es sont associé·es et partagent le pouvoir, et en m’investissant dans le mouvement coopératif pour faire vivre des projets collectifs.
Des reprises d’entreprises par leurs ouvriers comme Duralex à la création d’initiatives autour de l’autopartage ou de centres de santé, mon engagement a toujours eu le même fil conducteur : agir ensemble, au service du bien commun.
Et Grenoble, c’est une ville que j’aime. Une ville pleine de qualités, de vitalité, d’initiatives, où l’on trouve un cadre de vie unique et un fourmillement associatif et économique qui donnent envie d’agir, ici et maintenant.
Laurence Ruffin